The Torn Language Between Identity and the Global in Amin Maalouf's In Murderous Identities: A Sociolinguistic Analysis
La langue écartelée entre l’identitaire et le globale chez Amin Maalouf à travers une analyse sociolinguistique de son essai Les identités meurtrières
Abstract
Murderous Identities is a self-reflexive essay where the linguistic question is central. In this essay, the “translingual” writer Amin Maalouf offers a profound vision of what the language of identity and the global language is in the era of globalization. The question of language greatly determines the choice of a language in a multilingual context. This research provides us with data parameters and hypotheses to address in developing our understanding of sociolinguistic issues. In addition, the ideas developed by the author are new which spark inspiration and research on the subject. Between an identity language and a global language, there is a large gap which manifests itself in a space of progress compared to the past and a space of regression in human relations. In the end, two languages are not enough, you need a second language, freely loved, embraced and chosen.
Résumé
Les identités meurtrières est un essai autoréflexif où la question linguistique est centrale. Dans cet essai l’écrivain « translingue », Amin Maalouf propose une vision profonde de ce que c’est la langue identitaire et la langue globale à l’ère de la mondialisation. La question de la langue détermine grandement le choix d’une langue dans un contexte plurilingue. Ces recherches nous ont données des paramètres et des hypothèses à traiter dans le développement de notre compréhension des questions sociolinguistiques. En outre, les idées développées par l’auteur sont nouvelles qui suscitent de l’inspiration et de la recherche sur le sujet. Entre une langue identitaire et une langue globale, se place un grand écart qui se manifeste en un espace de progrès par rapport au passé et un espace de régression dans les relations humaines. Au final, les deux langues ne suffisent pas, il faut une deuxième langue, librement aimée, épousée et choisie.